Travailler moins pour plus profiter de la vie

Adolescent, Jean C., aujourd’hui âgé de 56 ans, s’intéressait déjà à la biologie et aux sciences naturelles. Et comme l’être humain le fascinait tout particulièrement, il a fait des études de médecine avec une spécialisation en dentisterie. À 34 ans, Jean a ouvert son premier cabinet. Peu à peu, il s’est rendu compte que, non content d’être bon dans son métier, il était aussi doué d’un excellent sens des affaires. Il a donc suivi une formation complémentaire en gestion d’entreprise et commencé à ouvrir d’autres cabinets dans plusieurs villes de Suisse romande. Depuis neuf ans, Jean se consacre exclusivement à la gestion de ses cabinets dentaires et à leur développement.

Jean ne doit pas son succès à son seul sens des affaires. Il n’a cessé de redoubler d’efforts pour améliorer ses cabinets dentaires. Il n’est pas rare de le voir encore au travail à l’heure où ses collègues sont partis depuis longtemps.

En plus d’être passionné par son entreprise, Jean est aussi féru de voile. Les vagues, le vent et l’immensité de l’océan exercent sur lui une attirance quasi magique. Il a depuis longtemps son permis voile, mais ne peut prendre le large que quelques jours par an. Lui et son épouse Valérie, 55 ans, rêvent depuis toujours d’un tour du monde en bateau. Le fils du couple devenu adulte, plus rien ne s’oppose à la réalisation de ce doux rêve, excepté la question de savoir à qui confier l’entreprise.

Béa, l’une de mes responsables de site, connaît le marché aussi bien que moi. L’œuvre de toute ma vie est entre de bonnes mains.

Cela fait un certain temps que Jean envisage de lever le pied. Il a déjà élaboré un plan de sortie progressive de la vie professionnelle. À 60 ans, il voudrait réduire son temps de travail à 80%, deux ans plus tard, à 60%, puis prendre sa retraite avant l’âge légal de départ.

«Béa sera parfaitement capable de diriger l’entreprise sans moi», se dit-il. En effet, Jean a déjà formé sa responsable de site Béa, 44 ans, et lui a enseigné tout ce qu’elle devait savoir pour lui succéder. L’œuvre de toute sa vie serait entre de bonnes mains. Son fils de 23 ans étudie l’architecture et reprendre l’entreprise ne l’intéresse pas.

Est-ce que Jean peut se permettre un retrait partiel de la vie professionnelle ou une retraite anticipée sans revoir son niveau de vie ou ses ambitions à la baisse? Et de quelles options dispose-t-il pour répondre à ses volontés concernant la succession d’entreprise?

«Notre conseiller à la clientèle nous a toujours soutenus dans la réalisation de nos projets en nous ouvrant de nouvelles perspectives», se rappelle Jean, qui décide de faire appel une nouvelle fois à cette personne de confiance. Il y a de cela quelques années, leur conseiller avait déjà aidé Jean et sa femme à établir un Plan UBS Wealth Way.

UBS Wealth Way est une approche de conseil exhaustive permettant une planification personnalisée de son avenir financier. Elle définit les trois stratégies-clés de liquidités, de longévité et de legs, puis les applique aux différents objectifs de vie à court et à long terme. Cette approche systématique convient bien à l’esprit d’entreprise de Jean.

Le changement de cap que Jean souhaite opérer dans sa vie doit se refléter dans son Plan UBS Wealth Way. Tandis que sa retraite partielle entraîne une baisse de revenus, les dépenses occasionnées par son voyage pourraient augmenter proportionnellement, voire plus. «Il est donc d’autant plus important de planifier vos liquidités», lui explique son conseiller à la clientèle.

Pour y voir plus clair, le conseiller à la clientèle fait appel à une spécialiste en planification financière d’UBS. Selon elle, la retraite progressive permet d’éviter les lacunes AVS et de continuer à cotiser à la caisse de pension. Tant sur le plan fiscal que des liquidités, elle conseille le retrait échelonné des avoirs de prévoyance: «Nous abordons aujourd’hui en détail votre planification de prévoyance. Vous pourrez ainsi bientôt partir en retraite anticipée l’esprit tranquille.»

Une chose est sûre pour le conseiller à la clientèle: il faut prendre suffisamment de temps pour planifier la succession d’entreprise. En effet, cette transaction revêt des aspects financiers, comptables, fiscaux, mais aussi familiaux à prendre en compte. Les fruits de la vente de l’entreprise pourraient constituer les bases de la stratégie de longévité ou de legs. Une solution de placement sur mesure permettrait à Jean de financer sa retraite, mettre sa famille à l’abri du besoin et même de faire plusieurs virées en bateau.

Il doit, en plus, rester des fonds suffisants pour élaborer une stratégie de legs. «Mes parents m’ont soutenu financièrement quand j’ai créé mon entreprise», se souvient Jean. «J’aimerais donc tout naturellement léguer quelque chose à mon tour à la prochaine génération.»

Lorsque la mer est déchaînée, il faut veiller à bien garder le cap.

«Nous avons hâte de voguer vers de nouveaux rivages», se disent Jean et Valérie à la fin de l’entretien-conseil. «Je vous conseille de faire chaque année un bilan pour vérifier si vous avez bien gardé le cap en matière de finances. Si votre situation change, il faut régler la voilure en conséquence», leur rappelle le conseiller à la clientèle.

En tant qu’entrepreneur, Jean sait bien que le vent a vite fait de tourner. Il est d’autant plus soulagé que son Plan UBS Wealth Way, véritable boussole pour ses finances, ne soit pas gravé dans le marbre et s’adapte aux circonstances, surtout par gros temps.